Le CJR-Qc offre des programmes de justice réparatrice qui aident à répondre au besoin criant de reconnaissance des personnes lésées tout en favorisant un taux plus élevé de rétablissement. La démarche transformatrice que suscite la justice réparatrice est un chemin de guérison holistique (physique, émotionnelle, psychologique et spirituelle) qui se fait à l’aide d’une éthique de l’accompagnement, des Cercles de justice réparatrice, ou encore, par le moyen des Ateliers Retour à l’esprit & Semences de réconciliation.
Les Fondateurs du Centre de Justice Réparatrice de Québec (CJR-Qc)
Henri Tremblay, Métis de la Nation Kitchissippi Rini, est médiateur accrédité de l’Institut de Médiation et d’arbitrage du Québec, de même que Associé principal, formateur, praticien et membre estimé de l’Institut Canadien pour la Résolution des Conflits depuis 1997.
Il œuvre dans les domaines de la médiation, l’évaluation de besoins de groupe, la consultation, la formation, la toxicomanie et le développement communautaire. Il livre de la formation sur la médiation, la communication, la diversité et facilite des sessions de résolution de conflits et des activités de guérison post- conflictuelles. M. Tremblay est aussi membre fondateur du CJR-Qc et demeure conseiller auprès de ses membres. À toutes mes relations!
Lucie Rhéa Painchaud est d’ascendance métissée du côté de son arr.-arr. grand-mère, Éloïse Lemieux de Port-Royal, dont la généalogie remonte à Madockawando, Sachem de la Confédération Penobscot (Maine, ca.1630-1698). Elle a œuvré comme madrée auprès des cadets.tes de la Marine suite à son enrôlement dans la 55e Cie médicale de St-Malo à 18 ans. Après avoir rédigé un Mémoire en philosophie sur La Notion de Conscience chez Henri Bergson et une thèse de doctorat intitulée Justice réparatrice et médiation pénale : Aspects éthiques et sociaux, elle a été professeure de philosophie au CÉGEP. Ayant aussi travaillé à la fonction publique du Canada à Ottawa et puis, à la Sécurité Publique du Québec, c’est lors d’un Colloque du Service correctionnel du Canada qu’elle a découvert la justice réparatrice. Ambassadrice de la réconciliation, Mme Painchaud est cofondatrice du CJR-Qc où, dans un esprit de vérité et de transparence, elle exerce la fonction de directrice et coordonnatrice.
Benoît Tessier est aumônier dans un Établissement de détention provincial. Il a obtenu un D.E.C. en technique de la faune et a travaillé dans ce domaine avant de compléter un baccalauréat es arts en théologie. Détenteur d’un certificat en pédagogie pour l’enseignement secondaire, il a obtenu son brevet d’enseignement ce qui lui a permis d’occuper un poste d’enseignant dans une école secondaire. Titulaire d’une maîtrise en théologie, il a été successivement vicaire et curé de paroisse au diocèse de Québec à Lévis, en Charlevoix et auprès de la Communauté Huronne-Wendat, à Wendake. Ayant à cœur la justice réparatrice, son intérêt l’a amené à être un des trois membres fondateurs du CJR-Qc.